Les meilleurs experts médicaux demandent l'examen national de Canadas Covid-19 "mal" |CBC News (2023)

Trois ans et demi après le virus derrière Covid-19, ses ravages ont commencé dans le monde qui a finalement tué des dizaines de milliers de Canadiens - un groupe d'experts médicaux de haut niveau pour commencer une étude nationale complète des pandemirespons du Canada.

Dans un vaste ensemble d'éditeurs et d'éléments d'analysePublié lundi dans le British Medical Journal (BMJ), met plus d'une douzaine de médecins et de défenseurs de la santé des projecteurs sur ce qu'ils ont appelé la "principale pandéste" du pays, de la dévastation des maisons de soins à long terme, au port de vaccin, à des taux de mortalité plus élevés parmi les sociétés à faible revenu.

Ces lacunes étaient toutes sur la base des soins de santé complexes et fragmentés du pays.Cette approche décentralisée, affirment les auteurs, a conduit à des différences spectaculaires dans la façon dont chaque province a géré la propagation de SARS-CoV-2, a rapporté le virus au Canada pour la première fois en janvier 2020.

Par rapport à la réponse britannique "Shambolic" et "Chaos et Split" aux États-Unis, il a semblé que le Canada a revendiqué l'occasion lorsque Covid Hit, plusieurs auteurs ont écrit dans un premier article de leadership, dont Jocalyn Clark, un scientifique canadien de la santé publique BMJ actuellement de BMJ Éditeur international.Pourtant, la réalité, les journaux, explique beaucoup plus nuancé, avec toute l'étendue des succès et des échecs encore peu clairs.

"Nous ne voulions pas le savoir parce qu'aucune enquête pandémique auprès de son gouvernement fédéral n'a été créée", a poursuivi le groupe."C'est une erreur."

La principale cause d'une étude, a déclaré le groupe, est responsable des pertes de la pandémie, après plus de 50 000 décès directs, des millions de nouvelles infections telles que des «familles détruites» à travers le Canada et un patrimoine durable après de longs patients cèvres.

"Si cette catastrophe mondiale ne provoque pas la nécessité d'une étude profonde ... Je ne sais pas ce qui le fera", a déclaré Clark à CBC News.

- J'espère que les autorités ne le balayent pas seulement sous le tapis.

Voir |À l'intérieur de certains des hôpitaux les plus difficiles du Canada:

Les responsables fédéraux sont toujours "obligés d'un examen"

Les responsables fédéraux ont déclaré à CBC News qu'ils étaient toujours "attachés à un examen de la réponse à Covid-19 pour faire un aperçu des expériences et mieux éclairer la préparation et les réponses aux futures crises de santé", selon un communiqué du ministre du bureau de la santé Jean -Eve duclos.

Santé Canada a également noté qu'il y avait un certain nombre d'audits et d'études déjà en cours, notamment le lancement d'un panel d'audit indépendant pour la santé publique et une série d'audits approfondis des pandemirespons de l'agence effectués par le OAG.

"Mais ils ne sont pas étendus", a déclaré Clark, de BMJ, dans un appel vidéo avec CBC News."Ils semblent presque exister en tant que patchwork."

L'ancien ministre de la Santé du pays, Patty Hajdu, a parlé de la possibilité d'une approche plus large en 2021.

"Nous sommes ouverts à une enquête aussi profonde que nécessaire, y compris une enquête publique, qui vient de la façon dont notre pays peut être mieux préparé [pour] les menaces mondiales sur la santé à l'avenir", a déclaré Hajdu en avril la même année, ajoutant le Le gouvernement envisage d'examiner la réaction covide "quand le temps est".

Ce moment est maintenant, a déclaré Clark."Ce dont nous avons besoin, c'est quelque chose au niveau fédéral qui est correctement statutaire et contrôlé", a-t-elle poursuivi, "nous faisons donc une enquête publique complètement étendue qui examine l'ensemble des Pandemirespons."

DR pour l'analyse est justifié.

Le Royaume-Uni a déjà lancé une enquête covide, y compris six semaines d'audiences, un style que Naylor a averti les risques de devenir une "affaire de longue durée axée sur le Fingerpacking et beaucoup de théâtre politique".

Ce qui est plus logique, a-t-il déclaré dans un e-mail à CBC News, c'est un comité d'enquête interdisciplinaire qui comprend à la fois des experts et des Canadiens d'autres horizons, et dirigée par une voix internationale indépendante.

«Nos plus petits dirigeants peuvent faire est d'honorer les souvenirs de ceux que nous avons perdus, et les victimes et obligations de ceux qui sont encore en vie, en donnant aux Canadiens un compte rendu complet et honnête de ce qui a mal tourné, de ce qui s'est bien passé et de ce qui serait fait pour s'assurer que nous sommes mieux préparés à la prochaine menace infectieuse », a-t-il écrit.

Pour combler ce vide, Clark et d'autres auteurs ont offert leurs propres avis.

Du côté positif,La recherche suggèreLe pays a bien réussi pendant les deux premières années, avec des infections et des décès du SAR-COV-2 inférieurs, combinés à une couverture de vaccination plus élevée, que la plupart des autres pays industrialisés du G10, ont écrit les auteurs.

Mais leur liste de carences dans les pandemirespons du Canada était beaucoup plus longue.

Le travail de contenu Covid a été entravé par une incohérence dans la prise de décision et le partage de données inadéquat, a noté un article de BMJ, tandis qu'un autre a mis en évidence des trous de financement précoces tels que des prises de vue négligées par des fusillades telles que des soins de longue durée, des maisons résidentielles et des emplois importants.

"L'image qui émerge est un pays mal préparé avec des systèmes informatiques obsolètes, une mauvaise coordination et l'unité, et la cécité des différents besoins des habitants. Ce qui a sauvé le Canada était une population largement disposée et conformée qui résiste aux mesures de santé folkloriques strictes et a réalisé parmi les mesures parmi les mesures et réalisées parmi les mesures parmi les mesures et réalisées parmi les mesures et réalisées parmi les mesures et réalisées parmi les mesures et réalisées parmi les mesures et réalisées parmi les mesures et réalisées parmi les mesures de santé folkloriques et réalisées parmi les personnes et réalisées parmi les mesures et réalisées parmi les mesures et réalisées parmi les mesures de santé folk Les niveaux les plus élevés des plus hauts niveaux de couverture de vaccination du monde ", ont écrit BMJ Writers dans leur éditeur d'ouverture.

"En d'autres termes, les Canadiens ont livré la réponse de Pandemire pendant que les gouvernements vacillaient."

"Nous n'avons pas scellé les trous"

Les dernières données fédérales disponiblesMontre que plus de neuf des 10 des décès covidés ont signalé par la pandémie faisaient partie des Canadiens âgés de 60 ans et plus, avec le nombre de morts les plus élevés parmi les personnes âgées sur 80 ans.

Des soins en particulier à long terme étaient un piège à mort, dans ce que l'équipe BMJ a appelé une crise "prévisible".

"Une honte particulière est que le Canada est au sommet des nations riches pour les décès [liés à la poubelle] dans les maisons de soins pour les personnes âgées, malgré plus de 100 rapports qui alertent une crise des maisons de soins infirmiers", ont écrit les auteurs.

Les résidents des maisons de soins représentaient trois pour cent des cas coiffés au Canada à la fin de 2021, mais représentaient environ 43% des décès.Et bien que les résidents à long terme aient été prioritaires dans les programmes de vaccination du pays, les maisons ont connu plus d'épidémies en 2022 que dans certaines des années précédentes de la pandémie.

Eddie Calisto-Tavares, un résident de Winnipeg, dont le père est décédé lors d'une épidémie de pointe dans une maison de soins de longue durée, a décrit la scène à l'intérieur de la maison les jours avant la mort de son père comme un "cauchemar", avec des résidents qui ont crié à l'aide, amené les employés à gauche Pour les vérifier, les vérifier et les gens sont finalement retrouvés morts par le personnel d'ambulance.Sa peur maintenant, a-t-elle dit, est que l'histoire se répétera si une nouvelle crise se produit.

Voir |La réponse de Canadas Covid-19 manquait de coordination, dit des rapports:

"Lorsque vous n'apprenez pas de vos erreurs, vous êtes condamné à les répéter", le gériatre de Toronto, le Dr Samir Sinha, qui n'était pas impliqué dans la série BMJ.Les maisons de soins à long terme ont encore des problèmes de dotation importants, a-t-il ajouté, alors que les chambres sont toujours en cours de construction pour abriter plus d'un résident à la fois malgré le risque de transfert de virus.

"Même si nous nous sentions mal pour les Canadiens plus âgés, nous n'avons pas toujours appris à monter et à faire ce que nous savions que nous aurions pu faire", a déclaré Sinha.

Les rédacteurs de BMJ ont également souligné que les fréquences les plus élevées de cas SAR-COV-2 et de décès étaient globalement parmi les groupes racisés, les immigrants récents, les travailleurs essentiels avec des salaires inférieurs et des individus vivant dans des ménages surpeuplés avec plusieurs générations.

Les dernières données de l'Ontario dessinent une image particulièrement nette: l'écart des revenus Covid-19 ne s'est pas amélioré au fil du temps, avec une analyse mise à jour dirigée par une équipe de recherche à Toronto montrant que le nombre d'admissions et de décès à l'hôpital est resté trois fois plus élevé dans le plus bas versus Zones de revenu les plus élevées - à travers sept vagues d'infections jusqu'à la chute de 2022.

Cette tendance s'est déroulée à mesure que la province augmentait la couverture des vaccins, plus d'écrivains ont continué, et bien que la population ait développé une plus grande protection hybride par les infections et la vaccination précédentes.

"Nous n'avons pas scellé les lacunes, puis nous aurions vraiment dû le faire", a déclaré le Dr Sharmimitha Mishra, épidémiologiste de l'infection à l'Université de Toronto et Unity Health.

Les gouvernements doivent encore faire pression sur l'amélioration du lieu de travail afin de résoudre ces problèmes systémiques, a-t-elle affirmé, notamment des jours de maladie suffisants, des stratégies pour atteindre les communautés locales avec un revenu plus faible et une densité de population plus élevée et la sécurisation des vaccins.

Le pays a également connu plusieurs grandes épidémies souvent mortelles parmi les travailleurs essentiels, notammentDes centaines d'infections sur un Brampton, en Ontario, Amazon WarehouseEn 2021 et l'une des plus grandes épidémies du continentÀ un emballage de viande en AlbertaL'année précédente, qui était liée à plus de 1500 cas et au moins deux décès.

Préoccupations concernant les ischio-jambiers vaccinaux, la distribution

Les approches de vaccination au Canada étaient un cas mixte, et le pays a atteint de grands objectifs de vaccination générale - huit Canadiens sur 10 ont terminé leur première série de vaccins -Alors que les critiques ont averti que les coups de feu ne sont pas toujours arrivés aux communautés les plus durement touchées à travers la pandémie.

L'équipe de BMJ a salué les efforts de certaines provinces pour développer des stratégies de vaccination à chaud, mais a déclaré que les rapports du groupe consultatif sont souvent arrivés en retard.Premier rapport fédéral sur les ingatures covide, les auteurs ont noté 10 mois dans la pandémie.

Les chercheurs ont également creusé le rôle du Canada dans la livraison des vaccins sur la scène mondiale, notamment la décision fortement critiquée du gouvernement fédéral de recevoir des doses de l'initiative mondiale connue sous le nom de Covax, tout en avalant des tirs à travers d'autres accords externes.

«À la fin de 2022, le Canada avait géré près de 96 millions de doses tout en délivrant moins de 29 millions à l'étranger. Cette mauvaise performance de doses de division lorsqu'elles étaient les plus nécessaires ont entraîné une surveillance domestique, avec des dizaines de millions confrontés à la date d'expiration à la fin de la fin de la fin de la fin de la fin de la fin de la fin de la fin de la fin de la fin de la fin de la fin de la fin de la fin de 2022, «Décrit.Un papier BMJ.

"Pendant ce temps, plus de deux ans après le début de la vaccination au Canada, une seule dose n'avait pas été produite au niveau national, une carence qui a directement affecté les actions des autorités au pays et à l'étranger concernant les mesures visant à accroître l'approvisionnement en vaccin."

Le Journal a continué ..

"Un million de vies en 2021 auraient pu être sauvés dans des pays pauvres dont les nations riches comme le Canada avaient partagé plusieurs [doses]", ont écrit les auteurs.

Tout a joué contre ce que l'équipe BMJ a décrit comme un système de soins de santé qui reste fragmenté, décentralisé et complexe - qui a fourni des "règles différentes à différents endroits" à travers la pandémie basée sur une justification peu claire.

Alors que les organismes fédéraux offraient des conseils de vaccination, chaque province ou territoire a créé des plans et mandats de qualification distincts."Par exemple, les mandats de vaccins en Ontario n'étaient que pour ceux qui travaillaient dans des maisons de soins de longue durée, tandis que les vaccins étaient nécessaires au Nouveau-Brunswick, à Terre-Neuve, en Nouvelle-Écosse et au Yukon pour ceux qui travaillent dans le système de soins de santé, le secteur public, à long terme Care and Schools, "a noté une analyse.

Les autorités provinciales de santé publique diffèrent également dans les directives sur les masques, les fermetures scolaires, le couvre-feu et les obstacles, tandis que différents niveaux du gouvernement ont abordé la gestion des épidémies.

"Les auteurs sont très préoccupés par la partie de leurs résultats - des possibilités de gestion ou de coordination perdantes, et le manque de partage de données entre les systèmes - qu'il s'agissait de certaines des erreurs identifiées lors de la réponse canadienne à l'épidémie du SRAS", "" a déclaré Clark CBC News, faisant référence au rapport de Naylor en 2003.

Voir |À l'intérieur du système d'emballage de viande ravagé par Covid-19:

"Cela va nécessiter un changement transformateur"

Grâce aux journaux BMJ, et dans CBC News appelle avec des experts médicaux externes, un thème central qui a émergé était le désir de ce pays pour éviter les erreurs de ces dernières années, bien que peu aient semblé plein d'espoir.

"Si nous devions avoir une nouvelle pandémie qui commencerait demain", a déclaré Sinha, "ce serait vraiment le jour de la marmotte."

Le Dr Sharon Straus, médecin en chef de l'hôpital St. Michael's à Toronto et l'un des principaux auteurs de plusieurs articles de la série BMJ, a averti que sans une enquête fédérale complète, divers acteurs politiques peuvent entrer dans l'aspirateur et créer plus de division à travers le pays .

Ce que les auteurs de BMJ veulent voir, a-t-elle ajouté, est une demande qui est réellement mise en œuvre, y compris de nouvelles normes nationales qui peuvent réduire la violation du système de santé canadien et mieux préparer le pays à la possibilité d'une nouvelle pandémie.

"Cela va exiger un changement transformateur", a-t-elle déclaré, ainsi que "une coopération exceptionnelle entre le gouvernement fédéral et les autorités provinciales et territoriales".

Mais Clark a reconnu que, compte tenu des performances mitigées du Canada sous Covid - même après un rapport vif de la façon dont le pays a géré le SRAS - il y a un sentiment croissant que les erreurs peuvent être répétées à chaque fois qu'une autre menace pour la santé publique affecte.

"C'est vraiment déprimant que nous nous attendions tous à ce que les gens baissent les épaules lorsque nous avons une crise de cette taille et de cette portée", a-t-elle déclaré.